Le cri du coeur
Les Calepieds sont à fond dans la préparation de l'expo qui aura lieu dans 10 jours au Petit Verger comme vous le savez déjà.
Mais là, j'ai un peu mal au coeur.
Il en fallait bien une, de véritable galère, dommage qu'elle arrive quand on ne s'y attendait plus.
Suite à l'incompétence notoire du photographe chargé de développer les pellicules, plus de la moitié des négatifs est sacagée, sans parler d'une pellicule entière qui manque à l'appel et de négatifs disparus.
Je vous passe les détails techniques de l'affaire, totalement consternants, mais je voulais juste exprimer mon désarroi et ma frustration. Les clichés des pêcheurs de la Corne d'Or d'Istanbul, absents, ceux d'un instant magique sur le Danube, inexpoitables, cette lumière inouie en Italie, cette mosquée fascinante, arrrgghrrrrrrrrrrr, j'enrage, je remue le couteau dans la plaie, ça n'aide pas à cicatriser. Ce ne sont pas que des images, c'est une part de moi-même qui a été passée à la moulinette à cause de ce photographe. Un investissement personnel, des fragments d'émotions.
Je ne sais pas si je vais me sentir mieux, mais j'avais besoin de l'écrire, de le sortir hors d'ici.
Bien sûr, il en reste quelques unes, et l'expo aura bien lieu, pour le coup, merci au numérique. Mais c'est un coup dur, que j'ai du mal à digérer...
Mais là, j'ai un peu mal au coeur.
Il en fallait bien une, de véritable galère, dommage qu'elle arrive quand on ne s'y attendait plus.
Suite à l'incompétence notoire du photographe chargé de développer les pellicules, plus de la moitié des négatifs est sacagée, sans parler d'une pellicule entière qui manque à l'appel et de négatifs disparus.
Je vous passe les détails techniques de l'affaire, totalement consternants, mais je voulais juste exprimer mon désarroi et ma frustration. Les clichés des pêcheurs de la Corne d'Or d'Istanbul, absents, ceux d'un instant magique sur le Danube, inexpoitables, cette lumière inouie en Italie, cette mosquée fascinante, arrrgghrrrrrrrrrrr, j'enrage, je remue le couteau dans la plaie, ça n'aide pas à cicatriser. Ce ne sont pas que des images, c'est une part de moi-même qui a été passée à la moulinette à cause de ce photographe. Un investissement personnel, des fragments d'émotions.
Je ne sais pas si je vais me sentir mieux, mais j'avais besoin de l'écrire, de le sortir hors d'ici.
Bien sûr, il en reste quelques unes, et l'expo aura bien lieu, pour le coup, merci au numérique. Mais c'est un coup dur, que j'ai du mal à digérer...